Le terrassement a bien avancé hier, il y a maintenant un beau trou ! Sauf que 2 surprises sont venues se greffer...
UNE : le terrassier a rencontré la molasse (roche dure néanmoins friable si à l'air et humidifiée) sur une partie de l'emprise du terrassement. Du coup, il va devoir faire un petit coup de brise-roche mais devra également descendre les fondations (ou des piliers) plus bas du côté où elle n'est pas affleurante, pour les poser sur un même support.
DEUX : Au départ, pour l'évacuation des eaux de drainage qui ne peuvent aller par gravité au collecteur le plus près, nous avions envisagé un regard dans le sous-sol qui les collecterait et une pompe automatique qui les releverait d'un bon mètre. Problème : il s'avère qu'il y a pas mal d'eau au fond du trou. Du coup, si on ne veut pas être inondé régulièrement, il va falloir qu'on les raccorde bien plus loin et plus bas chez le voisin (faut d'abord qu'on lui demande l'autorisation...).
Ce sont les aléas de la construction.
Du coup, pour rester (ou dépasser au minimum) le budget, on va sûrement réaliser nous-même le dallage du sous-sol. Les calculs sont assez vite faits... Reste encore à déterminer si l'on fait venir une toupie de béton ou si l'on s'arme de courage, de main d'oeuvre et de matériel pour brasser à la bétonnière (ce qui n'est pas insurmontable du tout). Avec les premières estimations faites, il semble que la différence entre les deux soit vraiment très faible, voire au profit de la toupie (on a de la chance, les plus grosses font pile 8m3, ce qu'il nous faut). Et si l'on opte pour la toupie, le dernier choix sera : camion simple, ou camion + tapis ou camion-pompe. Le travail a réaliser est décroissant mais le prix croissant par rapport à l'ordre indiqué...
Désolée pour les photos mais on part avant le lever du jour le matin et on rentre après le coucher du soleil le soir... Donc pas possible de prendre grand chose de nuit...
UNE : le terrassier a rencontré la molasse (roche dure néanmoins friable si à l'air et humidifiée) sur une partie de l'emprise du terrassement. Du coup, il va devoir faire un petit coup de brise-roche mais devra également descendre les fondations (ou des piliers) plus bas du côté où elle n'est pas affleurante, pour les poser sur un même support.
DEUX : Au départ, pour l'évacuation des eaux de drainage qui ne peuvent aller par gravité au collecteur le plus près, nous avions envisagé un regard dans le sous-sol qui les collecterait et une pompe automatique qui les releverait d'un bon mètre. Problème : il s'avère qu'il y a pas mal d'eau au fond du trou. Du coup, si on ne veut pas être inondé régulièrement, il va falloir qu'on les raccorde bien plus loin et plus bas chez le voisin (faut d'abord qu'on lui demande l'autorisation...).
Ce sont les aléas de la construction.
Du coup, pour rester (ou dépasser au minimum) le budget, on va sûrement réaliser nous-même le dallage du sous-sol. Les calculs sont assez vite faits... Reste encore à déterminer si l'on fait venir une toupie de béton ou si l'on s'arme de courage, de main d'oeuvre et de matériel pour brasser à la bétonnière (ce qui n'est pas insurmontable du tout). Avec les premières estimations faites, il semble que la différence entre les deux soit vraiment très faible, voire au profit de la toupie (on a de la chance, les plus grosses font pile 8m3, ce qu'il nous faut). Et si l'on opte pour la toupie, le dernier choix sera : camion simple, ou camion + tapis ou camion-pompe. Le travail a réaliser est décroissant mais le prix croissant par rapport à l'ordre indiqué...
Désolée pour les photos mais on part avant le lever du jour le matin et on rentre après le coucher du soleil le soir... Donc pas possible de prendre grand chose de nuit...
Commentaires
C'est super de pouvoir apprécier l'avancement des travaux à distance (c'est moins fatigant !!) A ce rythme vous pourrez prendre des vacances avant deux ans !!
Bises